L’ultime voyage

Les voyages changent les perspectives. Ils aident à relâcher les tensions de la routine quotidienne et permettent de découvrir de nouveaux horizons. L’homme est aujourd’hui capable d’atterrir sur la lune, de planer au-dessus de la surface de la mer, d’explorer le fond des océans et de voler à la hauteur des nuages. Tant qu’on est en bonne santé, tant qu’on a les moyens de se payer de telles aventures, on profite pleinement pour parcourir les recoins de la planète. Se priver de voyager, c’est limiter son ouverture d’esprit et s’enfermer dans la prison du « métro-boulot-dodo ». Même après la mort, le voyage continue. Cela s’explique par les transports funéraires et le transfert vers l’au-delà. Le transport de corps est cependant une question d’hommage à titre posthume. Les proches du défunt choisissent des prestations de qualité pour honorer les souvenirs du regretté. Ce dernier ne pourra plus voir les titres qu’on lui attribue, les fleurs qui ornent son cercueil et le corbillard qui transporte son corps. Néanmoins, la qualité du service, notamment celle du transport funéraire, est un mérite. En excluant les sujets d’ordre métaphysique, l’ultime voyage concerne donc le transport du corps avant et après la mise en bière.

Le transport du corps avant la mise en bière

90 % des décès ont lieu dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le transport avant la mise en bière consiste donc à emmener le corps du défunt vers un funérarium ou vers une résidence familiale (qui est souvent son domicile). La loi est claire sur ce sujet : le transport avant la mise en cercueil doit être effectué dans les 24h qui suivent le décès ou dans les 48h si le défunt a reçu des soins de conservation d’un thanatopracteur. Si le transfert excède les 600 km, les soins de conservation sont obligatoires. Le véhicule doit aussi être équipé d’un caisson réfrigéré pour conserver le corps. Sachez que ce type de transfert nécessite des autorisations préalables, que ce soit avant ou la mise en cercueil. Pour éviter les complications et les longues démarches administratives, il serait mieux de confier toutes les opérations à une entreprise de pompes funèbres.

Le transport après la mise en bière

Après les nuits de recueillement et les différents rites religieux, le défunt va être transféré dans sa dernière demeure. On parle alors de transport après la mise en bière. Souvent assuré par les corbillards des entreprises de pompes funèbres, l’ultime voyage consiste dans ce cas à honorer les souvenirs du défunt par des prestations de qualité. Le corbillard permet de transporter le cercueil, les gerbes de fleurs, les articles funéraires et le personnel. Un ou plusieurs membres de la famille du défunt peuvent également demander à accompagner le corps pendant le trajet. Après le dépôt du cercueil dans le monument funéraire ou dans le crématorium, le voyage du corps physique se termine. Les différentes croyances se divergent quant à la définition du voyage métaphysique. Quoi qu’il en soit, le voyage marque la vie de l’homme dès sa naissance jusqu’à sa mort.

Le choix de l’entreprise de pompes funèbres est donc essentiel pour marquer ces moments douloureux. Il ne s’agit pas de remuer le couteau dans la plaie, mais de rendre un dernier hommage au défunt. Pour assurer le transport du corps de votre cher disparu, vous pouvez solliciter LES POMPES FUNÈBRES ROLANDO MARCELLIN. L’entreprise peut se déplacer aux alentours de Gap, de Laragne-Montéglin et dans tout le département des Hautes-Alpes. Outre le transport funéraire, elle propose également toutes les prestations que l’on peut attendre d’une entreprise de pompes funèbres : organisation des obsèques, mise à disposition d’un salon funéraire, fournitures d’articles et entretien de la sépulture.

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